L’économie du bonheur est l’étude académique formelle de la relation entre la satisfaction individuelle et les questions économiques telles que l’emploi et la richesse. L’économie du bonheur tente d’utiliser l’analyse économétrique pour découvrir les facteurs qui augmentent et diminuent le bien-être et la qualité de vie des personnes.

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L’économie du bonheur est une branche relativement nouvelle de la recherche. Elle cherche à identifier les déterminants économiques du bien-être, principalement en demandant aux gens de remplir des enquêtes. Auparavant, les économistes ne se donnaient pas la peine de compiler de telles recherches, préférant définir ce qui fait que le bonheur en se basant sur leur propre compréhension.

En effet, déterminer le bien-être et les préférences des individus n’est pas une tâche facile. Le bonheur peut être difficile à catégoriser, car il s’agit d’une mesure subjective.

Indépendamment de ces difficultés, ceux qui étudient l’économie du bonheur continuent de soutenir qu’il est essentiel d’examiner les facteurs qui influent sur la qualité de vie, au-delà des domaines typiques des études économiques comme le revenu et la richesse.

Ils ont entrepris d’atteindre leur objectif en envoyant des enquêtes qui demandent directement aux gens de classer leur niveau de bonheur. Ils analysent également des indices qui suivent la qualité de vie dans différents pays, en se concentrant sur des facteurs tels que l’accès aux soins de santé, l’espérance de vie, le niveau d’alphabétisation, la liberté politique, le produit intérieur brut (PIB) par habitant, le coût de la vie, l’aide sociale et les niveaux de pollution.